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The Community According to Georges Bataille, Maurice Blanchot, and Jean-Luc Nancy: from The Politic to Art
Pourhosseini, Behrang ; Goddard, Jean-Christophe (vedoucí práce) ; Sibertin-Blanc, Guillaume (oponent)
Résumé Face à la difficulté de s'appuyer sur les catégories classiques de la pensée politique afin de désigner ce qui est en commun entre les êtres humains, l'on a vu à partir des années 80 l'émergence d'un débat autour du concept de communauté dans le champ de la philosophie politique qui a mis en jeu un néologisme qui essaie de désigner les modalités d'être-ensemble. Sur l'ensemble des philosophes qui ont abordé la question de la communauté, trois auteurs, Georges Bataille, Maurice Blanchot, et Jean-Luc Nancy, ont essayé d'analyser, chacun à sa maniére, la question du commun non seulement dans le champ politique mais aussi dans le champ ontologique, ainsi que le champ esthétique ou littéraire. Pour ces auteurs, si la question de la communauté est avant tout celle du « rapport », c'est parce que l'être lui-même se définit comme rapport ou comme communauté. L'être est toujours l'être-avec ou l'être-ensemble. La communauté vient du simple fait que l'un vit avec les autres, et s'établit sur l'inclinaison de l'un vers l'autre. Ce qui fait le commun, ce qui fait communiquer les êtres, c'est le fait que l'être a tendence à se mettre hors de soi, et c'est ce que Bataille entend par l'extase. L'ouverture de l'être singulier (au lieu du « sujet » ou « l'individu » selon la terminologie de Nancy) à la communauté...
The Absolute Immanence in Deleuze
Park, Daeseung ; Montebello, Pierre (vedoucí práce) ; Sibertin-Blanc, Guillaume (oponent)
L'immanence absolue chez Deleuze Daeseung Park Résumé Le plan d'immanence n'est pas unique. Deleuze et Guattari supposent une multiplicité de plans d'immanence. Chaque grand philosophe trace de sa propre manière des nouveaux plans, et ceux-ci constituent le « temps de la philosophie ». Nous pouvons donc « présenter toute l'histoire de la philosophie du point de vue de l'instauration d'un plan d'immanence » ou présenter le temps de la philosophie du point de vue de la superposition et de la coexistence de plans. Toutefois, les valeurs d'instaurations de plans d'immanence ne sont pas égales. Car le plan ne peut enlever des illusions qui l'entourent, et seul un petit nombre de philosophes s'en libère. Nous pourrions dès lors dire un plan « meilleur » que d'autres. Il s'agit surtout de l'illusion de transcendance qui renvoie l'immanence « à » quelque chose. Platon, les philosophes chrétiens et les philosophes du cogito, ils correspondent aux trois grandes époques de l'illusion de transcendance. Il y a au contraire des philosophes de l'immanence qui se libèrent de l'illusion et savent l'immanence qui n'est qu'à soimême, c'est-à-dire, le plan d'immanence le « meilleur » ou l'immanence absolue. L'objectif de ce mémoire est de traiter des problèmes autour de l'immanence absolue, selon une question qui meut la...
Capacity of Rancière's Political Subject, a Critical Review
Pao, Tsz-Ching ; Sibertin-Blanc, Guillaume (vedoucí práce) ; Klass, Tobias Nikolaus (oponent)
Résumé Bien que la démocratie affirme le droit universel à la politique, en réalité, il faut toujours une certaine compétence spécifique pour que l'acteur politique puisse bien jouer sa fonction. Ainsi, il existe un paradoxe fondamental du sujet politique qui est à la fois universel et discriminatif. Le projet rancièren est consacré à l'exposé de cette contradiction pour la rendre « productive ». En explicitant cette contradiction, Rancière considère le sans-part comme le sujet de la politique parce qu'il est le seul qui pourrait justement corriger le tord originel de la démocratie : l'exclusion du demos en raison d'un mécompte. En démarchant un litige, le sans-part montre l'inégalité du partage actuel du commun et revendique une répartition équitable et juste. Cependant, comme le sans-part est souvent ancré dans une position défavorisée, il ne va pas de soi que le sans-part puisse confronter les dominants à leur tord. Face à ce problème, Rancière nous propose une autre forme de compétence : le pouvoir esthétique que chacun possède. Cette œuvre vise à mettre au point ce pouvoir et à montrer aussi les limites de cette argumentation. Mots-clefs : sujet politique, capacité politique, Jacques Rancière, esthétique de la politique, Gayatri Chakravorty Spivak, Subalternes
Truth and alterity, their articulations in the Foucauldian analysis of the technics of the self
Charlebois, Philippe ; Sibertin-Blanc, Guillaume (vedoucí práce) ; Mouze, Létitia (oponent) ; Buhlmann, Pierre (oponent)
À la fin du manuscrit de la dernière leçon du Courage de la vérité, nous retrouvons cette phrase quelque peu énigmatique : « « Il n'y a pas d'instauration de la vérité sans une position essentielle de l'altérité ; la vérité, ce n'est jamais le même ; il ne peut y avoir de vérité que dans la forme de l'autre monde et de la vie autre. » Nous proposons, dans ce mémoire, d'analyser la relation entre vérité et altérité . Pour ce faire, nous analysons d'abord la méthodologie foucaldienne utilisée lors des dernières années de sa vie, en particulier ce qu'il entend par les analyses alèthurgiques. Ensuite, nous explorons la nécessité d'une altérité à la manifestation de la vérité du sujet, par exemple, l'autre comme exigence de la pratique ascétique. Finalement, nous expliquons de quelle manière la vérité, pour apparaître comme telle au sujet, doit adopter une position excentrée qui, dans son incarnation, aboutira à la vie autre. Mots-clés: Foucault, altérité, vérité, techniques de soi
Archaeology of Life in Merleau-Ponty and Canguilhem. Convergences from Critical Epistemology to Indirect Ontology
Tanguy, Semyon Vaclav Samuel ; Goddard, Jean-Christophe (vedoucí práce) ; Sibertin-Blanc, Guillaume (oponent)
Dans cette recherche, je me penche sur la validité d'une séparation amenée par Foucault entre deux philosophes, Canguilhem et Merleau-Ponty, sur la base de leur orientation philosophique. Le premier appartient à la « philosophie du concept », tandis que le second représente la « philosophie de la conscience », ces deux traditions étant, nous dit Foucault, « radicalement hétérogènes ». Je pense que cette séparation ne prend pas en compte le fait que tant Merleau-Ponty que Canguilhem entendent s'attaquer à une telle opposition entre sujet et concept en remontant, selon une méthodologie archéologique, à sa racine. Ils la trouvent tous deux dans une compréhension fautive de ce qu'est le corps, et plus largement, du concept de « vie », dans l'épistémè qui leur est contemporaine, qui la conçoit sous l'angle de la quantité et de la mensurabilité. En passant de l'épistémologie à l'ontologie, ils vont ébranler cette approche en montrant de quelle manière qualité et valeur proviennent de la vie elle-même, qu'elles sont des catégories essentielles à sa compréhension, et qu'elles ne nécessitent en aucune manière un sujet réflexif pour les postuler. Leur ontologie, indirecte parce que la vie ne peut s'exprimer qu'à travers sa situation anthropologique, montre qu'en amont tant du « sujet » que du « concept », il existe...
Capacity of Rancière's Political Subject, a Critical Review
Pao, Tsz-Ching ; Sibertin-Blanc, Guillaume (vedoucí práce) ; Klass, Tobias Nikolaus (oponent)
Résumé Bien que la démocratie affirme le droit universel à la politique, en réalité, il faut toujours une certaine compétence spécifique pour que l'acteur politique puisse bien jouer sa fonction. Ainsi, il existe un paradoxe fondamental du sujet politique qui est à la fois universel et discriminatif. Le projet rancièren est consacré à l'exposé de cette contradiction pour la rendre « productive ». En explicitant cette contradiction, Rancière considère le sans-part comme le sujet de la politique parce qu'il est le seul qui pourrait justement corriger le tord originel de la démocratie : l'exclusion du demos en raison d'un mécompte. En démarchant un litige, le sans-part montre l'inégalité du partage actuel du commun et revendique une répartition équitable et juste. Cependant, comme le sans-part est souvent ancré dans une position défavorisée, il ne va pas de soi que le sans-part puisse confronter les dominants à leur tord. Face à ce problème, Rancière nous propose une autre forme de compétence : le pouvoir esthétique que chacun possède. Cette œuvre vise à mettre au point ce pouvoir et à montrer aussi les limites de cette argumentation. Mots-clefs : sujet politique, capacité politique, Jacques Rancière, esthétique de la politique, Gayatri Chakravorty Spivak, Subalternes
Searching for the little girl : sexual difference in the thought of Deleuze
Karakaş, Öznur ; Sibertin-Blanc, Guillaume (vedoucí práce) ; Bentouhami, Hourya (oponent)
RESUMÉ Cet œuvre se veut une recherché sur la position de la différence sexuelle dans la pensée de Deleuze et Deleuze & Guattari principalement à partir des ouvrages la Logique du Sens, l'Anti-Œdipe et Mille Plateaux. Deleuze et Guattari dont la philosophie nous offre les concepts importants tels que les n- sexes, le devenir-femme, la féminité moléculaire, la féminité entre-deux etc. tout en situant le mouvement féministe au cœur de la micro-politique méritent d'être étudiés à travers les questionnements propres aux études de genre dont le principal est sans doute la différence sexuelle. « Comment la différence sexuelle est cernée par Deleuze et Guattari » serait donc la problématique centrale de notre recherche. Les mots clés : Deleuze, Deleuze & Guattari, la différence sexuelle, le devenir-femme, les n-sexes, la féminité moléculaire, la féminité entre-deux, la micro-politique, la famille, le capitalisme et le patriarchie, le féminisme, les études de genre
The Practical Philosophy of Henri Bergson
Batista Rates, Bruno ; Francois, Arnaud (vedoucí práce) ; Sibertin-Blanc, Guillaume (oponent)
Résumé Notre recherche prétend étudier la dimension de la philosophie bergsonienne dédiée au thème de la vie. Plus particulièrement, c'est sur une philosophie pratique que se forme autour d'une philosophie de la vie dans la pensée bergsonienne le sujet de notre recherche. Mais s'il s'agit d'un problème relatif à la connaissance de la nature, pourquoi nous avons utilisé le mot pratique, qui désigne surtout, dans la tradition philosophique, le domaine morale/éthique/politique/axiologique non de la nature ou du vivant, mais de l'homme? Ce choix délibéré révèle justement que les problèmes pratiques, dans toute son amplitude, doivent être envisagés depuis le point de vue du vivant. Mots-clés : Bergson, vie, philosophie pratique, vitalisme.
The Community According to Georges Bataille, Maurice Blanchot, and Jean-Luc Nancy: from The Politic to Art
Pourhosseini, Behrang ; Goddard, Jean-Christophe (vedoucí práce) ; Sibertin-Blanc, Guillaume (oponent)
Résumé Face à la difficulté de s'appuyer sur les catégories classiques de la pensée politique afin de désigner ce qui est en commun entre les êtres humains, l'on a vu à partir des années 80 l'émergence d'un débat autour du concept de communauté dans le champ de la philosophie politique qui a mis en jeu un néologisme qui essaie de désigner les modalités d'être-ensemble. Sur l'ensemble des philosophes qui ont abordé la question de la communauté, trois auteurs, Georges Bataille, Maurice Blanchot, et Jean-Luc Nancy, ont essayé d'analyser, chacun à sa maniére, la question du commun non seulement dans le champ politique mais aussi dans le champ ontologique, ainsi que le champ esthétique ou littéraire. Pour ces auteurs, si la question de la communauté est avant tout celle du « rapport », c'est parce que l'être lui-même se définit comme rapport ou comme communauté. L'être est toujours l'être-avec ou l'être-ensemble. La communauté vient du simple fait que l'un vit avec les autres, et s'établit sur l'inclinaison de l'un vers l'autre. Ce qui fait le commun, ce qui fait communiquer les êtres, c'est le fait que l'être a tendence à se mettre hors de soi, et c'est ce que Bataille entend par l'extase. L'ouverture de l'être singulier (au lieu du « sujet » ou « l'individu » selon la terminologie de Nancy) à la communauté...
The Absolute Immanence in Deleuze
Park, Daeseung ; Montebello, Pierre (vedoucí práce) ; Sibertin-Blanc, Guillaume (oponent)
L'immanence absolue chez Deleuze Daeseung Park Résumé Le plan d'immanence n'est pas unique. Deleuze et Guattari supposent une multiplicité de plans d'immanence. Chaque grand philosophe trace de sa propre manière des nouveaux plans, et ceux-ci constituent le « temps de la philosophie ». Nous pouvons donc « présenter toute l'histoire de la philosophie du point de vue de l'instauration d'un plan d'immanence » ou présenter le temps de la philosophie du point de vue de la superposition et de la coexistence de plans. Toutefois, les valeurs d'instaurations de plans d'immanence ne sont pas égales. Car le plan ne peut enlever des illusions qui l'entourent, et seul un petit nombre de philosophes s'en libère. Nous pourrions dès lors dire un plan « meilleur » que d'autres. Il s'agit surtout de l'illusion de transcendance qui renvoie l'immanence « à » quelque chose. Platon, les philosophes chrétiens et les philosophes du cogito, ils correspondent aux trois grandes époques de l'illusion de transcendance. Il y a au contraire des philosophes de l'immanence qui se libèrent de l'illusion et savent l'immanence qui n'est qu'à soimême, c'est-à-dire, le plan d'immanence le « meilleur » ou l'immanence absolue. L'objectif de ce mémoire est de traiter des problèmes autour de l'immanence absolue, selon une question qui meut la...

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