Národní úložiště šedé literatury Nalezeno 2 záznamů.  Hledání trvalo 0.00 vteřin. 
Phenomenon, meaning and substrate - for a phenomenological metaphysics
Michel, Beat ; Novotný, Karel (vedoucí práce) ; Schnell, Alexander (oponent) ; Salanskis, Jean-Michel (oponent) ; Jean, Gregori Jean (oponent)
Phénomène, sens et substrat - pour une métaphysique phénoménologique Quel est le substrat de la conscience, ou encore « qu'est-ce qui fait la conscience » ? Poser cette question revient à ne pas se satisfaire d'une réponse, qui peut paraître aller de soi, affirmant que ce substrat est le cerveau. En fait, situer le substrat de la conscience dans le corps objectif, comme partie du monde - que ce soit dans le contexte de la phénoménologie, de la philosophie de l'esprit ou du naturalisme - mène à une ontologie circulaire : la conscience dans le corps, le corps dans le monde, le monde pensé, perçu, conçu, constitué par la conscience. Or, même si toute circularité n'est pas nécessairement problématique, nous cherchons à montrer que cette circularité d'une ontologie générale est bien rédhibitoire. Aussi, nous empruntons une autre voie, partant du corps subjectif vers un substrat qui n'est pas situé dans le monde. Dès lors, ce substrat transcendantal est construit comme une notion abstraite, en opérant deux fusions consécutives de concepts existants. Il s'agit d'abord de réunir en un seul concept, celui de substrat abstrait, le hylémorphisme aristotélicien, d'une part, et l'idée de survenance issue de la philosophie de l'esprit, d'autre part, en établissant que les deux sont, d'une certaine manière, coextensifs....
Phenomenon, meaning and substrate - for a phenomenological metaphysics
Michel, Beat ; Novotný, Karel (vedoucí práce) ; Schnell, Alexander (oponent) ; Salanskis, Jean-Michel (oponent) ; Jean, Gregori Jean (oponent)
Phénomène, sens et substrat - pour une métaphysique phénoménologique Quel est le substrat de la conscience, ou encore « qu'est-ce qui fait la conscience » ? Poser cette question revient à ne pas se satisfaire d'une réponse, qui peut paraître aller de soi, affirmant que ce substrat est le cerveau. En fait, situer le substrat de la conscience dans le corps objectif, comme partie du monde - que ce soit dans le contexte de la phénoménologie, de la philosophie de l'esprit ou du naturalisme - mène à une ontologie circulaire : la conscience dans le corps, le corps dans le monde, le monde pensé, perçu, conçu, constitué par la conscience. Or, même si toute circularité n'est pas nécessairement problématique, nous cherchons à montrer que cette circularité d'une ontologie générale est bien rédhibitoire. Aussi, nous empruntons une autre voie, partant du corps subjectif vers un substrat qui n'est pas situé dans le monde. Dès lors, ce substrat transcendantal est construit comme une notion abstraite, en opérant deux fusions consécutives de concepts existants. Il s'agit d'abord de réunir en un seul concept, celui de substrat abstrait, le hylémorphisme aristotélicien, d'une part, et l'idée de survenance issue de la philosophie de l'esprit, d'autre part, en établissant que les deux sont, d'une certaine manière, coextensifs....

Chcete být upozorněni, pokud se objeví nové záznamy odpovídající tomuto dotazu?
Přihlásit se k odběru RSS.